Clé de Fa - infobésité - foule

L’infobésité

Clé de Fa - infobésité - foule

C’est quoi cette invention ?

C’est un terme que vous trouvez désormais dans tout bon dictionnaire, vendu dans toute bonne librairie de quartier… ou en centre commercial, ça marche aussi !

Le Robert indique : « Excès d’information propre à l’ère du numérique ». 
Bien. Pour illustrer cela, ayons en tête que : 

L’humanité a produit en 30 ans, plus d’information qu’en 2 000 ans d’Histoire et ce volume double tous les 4 ans.  (P. Aron et C. Petit)

N’avez-vous jamais remarqué que la plupart des journaux en ligne indiquent au début de leurs articles, juste après les gros titres, le temps de lecture ? Au cas où vous n’auriez pas le temps d’aller jusqu’au bout, par correction on… vous informe.
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Un article en ligne du journal Le Monde avec temps de lecture intégré

La grande facilité technique à partager au format digital ses sentiments, avis, convictions, recettes nous engage-t-elle tous à nous répandre ?

Clé de Fa- l'infobésité

Oui, probablement, c’est le principe même des réseaux sociaux.

Mais ceci peut-il être considéré comme de l’information à proprement parler ? Certainement pas.

Quoi qu’il en soit, que l’information soit officielle, vérifiée ou non, quand elle apparaît dans le fil d’actualité de votre vie, elle y prend sa place, au prix d’une charge mentale de plus en plus pesante.

(Dés)Intox

Les producteurs de fake news et autres sites propagandistes fleurissent et grossissent, à grand renfort de revenus publicitaires, en nous abreuvant de contenus a minima idiots, spectaculaires, graveleux, et sans intérêt mais surtout dangereux.

La malbouffe progresse et avance en binôme désormais, avec son double prometteur : la “malinformation”.

Il est important de ne pas confondre les termes, voici un petit récapitulatif : 

DÉSINFORMATION : La désinformation est une information qui est fausse, et la personne qui la diffuse sait qu’elle est fausse. « C’est un mensonge délibéré et intentionnel, qui montre que les gens sont activement désinformés par des acteurs malveillants ».

MÉSINFORMATION : La mésinformation est une information qui est fausse, mais la personne qui la diffuse pense qu’elle est vraie.

MALINFORMATION : La malinformation est une information qui se fonde sur la réalité, mais qui est utilisée pour porter préjudice à une personne, une organisation ou un pays.

Bref, comment faire pour éviter cela, trouver de la place pour respirer ?

Choisissez 2 ou 3 médias favoris, en privilégiant le papier, supprimez les autres en les évitant systématiquement, et surtout ne succombez plus à la tentation des chaînes d’information continue qui baignent notre esprit de mauvaises nouvelles tournant en boucle.

Parce que oui, il est temps de reprendre le pouvoir, de partir à la conquête de notre paix intérieure. Lire, méditer, marcher, pratiquer une activité sportive et sociale régulière, écrire,peuvent nous aider à nous élever, nettoyer notre bande passante intellectuelle et prendre une distance salvatrice avec la sur-information. Prêts ?

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Boris Nepveu

Responsable commercial
Cle de Fa- Le cocktail Franchise & Réseaux sociaux

Le cocktail Franchise & Réseaux sociaux

Les réseaux sociaux touchent un public BtoC très large. Ils sont donc efficaces pour de la communication de proximité et pour inciter les visites dans les points de vente de vos franchisés. Mais pas que !

En dehors de ces bénéfices reconnus aujourd’hui, proposer une véritable stratégie digitale à votre réseau a de nombreux avantages :

  • Proposer un service qui pourrait paraître simple (Allez ! quelques clics et c’est posté !) alors que les techniques de paramétrage de comptes et de publications sont de plus en plus complexes ;
  • Laisser plus de temps à vos franchisés pour se concentrer sur leur cœur de métier ;
  • Aider vos franchisés à mesurer leurs performances en temps réel ;
  • Aider vos franchisés à créer et entretenir des communautés de clients fidèles et ambassadeurs de l’enseigne ;
  • Augmenter la fierté des jeunes collaborateur·rice·s à représenter une enseigne qui sait apparaître dignement sur les réseaux sociaux ;
  • Apportez une cohérence de communication à votre enseigne ;
  • Mutualiser les coûts à répartir ensuite entre vos franchisés ;
  • Travailler votre « marque franchisés » pour attirer de nouveaux entrepreneur·es ;
  • Prouver le professionnalisme de votre franchise, travailler sa réputation.

Quels réseaux sociaux pour votre franchise ?

Le choix des réseaux sociaux est une question de stratégie. Il faut penser activité, objectifs, cibles, mais aussi tenir compte de l’amour que vous portez aux réseaux ou les moyens que vous souhaitez y mettre. Facebook reste le major. Instagram et Pinterest s’avèrent pertinents pour les secteurs visuels : mode, déco, cuisine… Et pour un public plus jeune, explorez le potentiel de TikTok ou Snapchat. Pour une communication BtoB, il faudra davantage envisager une présence sur des réseaux professionnels comme LinkedIn ou encore Twitter. Enfin, l’engouement des internautes pour la vidéo étant toujours plus prononcé, disposer d’une chaîne Youtube peut être stratégique à condition de produire du contenu de qualité pour l’alimenter régulièrement.

Que disent les chiffres

39% des Français·es suivent au moins une enseigne sur les réseaux sociaux pour s’informer des tarifs, des promotions (27%) et des nouveautés (21%) ou pour consulter les avis des consommateur·rice·s (18%). Les franchisés s’adaptent à cette tendance de fond : 62% utilisent les médias sociaux pour faire connaître l’actualité de leurs points de vente. 92% ont ainsi créé une page Facebook dédiée à leur activité.

Franchiseur, avez-vous le niveau pour vous y mettre seul ?

Mais OUI ! L’avantage d’Internet est que TOUT se partage : les astuces, les tutos, les idées… Maintenant trouverez-vous le temps ? Il est déjà essentiel de comprendre que vous serez plus efficient à développer efficacement  un ou deux réseaux sociaux plutôt que de vouloir être présent partout sans tenir la cadence car l’alimentation et la modération de vos publications sont des tâches chronophages qu’il ne faut pas sous-estimer. Les réseaux sociaux demandent une veille importante souvent oubliée car, rien que pour Facebook, vous ne trouverez pas moins de 3 back offices différents (l’interface classique, le creator studio et le business manager) et, les techniques pour poster changent fréquemment (prenez l’exemple de Facebook et des caroussels qui ne sont plus utilisables sauf en cas de sponsorisation).

source des illustrations https://www.observatoiredelafranchise.fr/dossier-franchise/la-17eme-enquete-annuelle-de-la-franchise-est-de-sortie-2082.htm
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Fanny Souchon

Dirigeante de l’agence Clé de Fa
Cle de Fa Une reconnexion douce, avec Clé de Fa (2/2)

Une reconnexion douce,
avec Clé de Fa (2/2)

Dans la première partie de cet article, nous abordions avec Boris, président de l’association « Sans Mon Portable » les chiffres relatifs à la déconnexion et au blurring, mais nous apportions également quelques conseils en termes d’organisation du temps et de concentration. Apportons maintenant une variable non négligeable et toute nouvelle pour certains, et déjà ancrée pour d’autres : le télétravail.

Mieux gérer son télétravail

 

La récente pandémie mondiale a bouleversé les organisations, le rapport à son propre travail, sa hiérarchie, ses tâches et missions. Chaque salarié concerné directement par le télétravail a dû se réinventer, pour rester efficace malgré de nouvelles contraintes et injonctions.

 

Selon le baromètre annuel 2021 Télétravail de Malakoff Humanis, 3,1 salariés sur 10 sont télétravailleurs en décembre 2020, 3,6 jours par semaine contre 1,6 jour fin 2019. 3 salariés sur 10 s’inquiètent de sa généralisation à plusieurs jours par semaine en 2021.

Selon la même étude, les managers sont toujours mobilisés mais épuisés. 
Ainsi, 31% disent se heurter à la problématique de maintien des liens collectifs, pour éviter l’isolement et maintenir l’esprit d’équipe.
43% déclarent ainsi avoir eu du mal à gérer la fragilité de certains salariés, liée à la surexposition aux écrans (recours à la visioconférence), des espaces de travail à la maison parfois inadaptés, des difficultés d’organisation (gestion de la scolarité des enfants).
Heureusement, les bonnes pratiques se multiplient et même si elles ne règlent pas tout, elles améliorent le quotidien des salariés. En voici quelques exemples et autres pistes:

Pour le manager

  • Donner de la flexibilité à ses collaborateurs (en télétravail, l’équilibre vie pro/ vie perso est par définition plus difficile à trouver).
  • Donner des objectifs encore plus précis. Chaque salarié doit être parfaitement clair avec les attentes de son manager, elles doivent être donc décrites très précisément.
  • Utiliser les mêmes outils numériques, et s’y tenir. Les changements permanents de solution de visio notamment créent du stress, de la fatigue, des pertes de repères.
  • Utiliser une plateforme collaborative, permettant de centraliser les informations à un seul et même endroit, en évitant l’envoi massif de mails à tous. On peut ainsi savoir où en est chacun dans l’accomplissement de ses tâches.
  • Créer des moments d’échanges informels, permettant de retrouver ou entretenir un esprit d’équipe, la convivialité.
  • Prioriser les tâches au maximum, faire le focus sur les (vraies) urgences.

Pour le collaborateur

  • Prendre soin de soi et de sa tenue vestimentaire. Cette préparation va dans le sens d’une concentration optimale, et conditionne une journée de travail amorcée avec plus de sérieux.
  • Aménager un espace de travail bien pensé. Il favorise une meilleure organisation et un bon confort de travail.
  • Définir un plan d’action journalier. Il doit être clair, spécifique, atteignable et hiérarchisé (urgence/importance).
  • Organiser son emploi du temps pour télétravailler efficacement, et de manière à ce que vos impératifs professionnels soient en adéquation avec vos contraintes personnelles. 
  • Prévoir des pauses régulières, pour être plus productif.
  • Rester en contact téléphonique ou physique avec des collègues et collaborateurs.

Pour un mieux-être numérique ?

Le passage à l’action dépend de tous, salariés, cadres, managers ou pas. Mais avant toute chose, adopter des habitudes numériques plus saines dépend très souvent de notre propre volonté, dans notre quotidien. En clair, le vouloir, c’est déjà avoir fait une partie du chemin.

Il s’agit de dépasser, pourquoi pas avec l’aide d’un coach ou d’un thérapeute les idées limitantes comme « j’voudrais bien mais je n’y arrive pas », « c’est compliqué », « c’est pas moi ce sont mes collègues qui m’envoient des mails », « tu sais aujourd’hui c’est difficile de faire différemment », « j’en connais chez qui c’est encore pire… » etc.

Les rituels du quotidien peuvent ainsi y aider. En voici quelques exemples à piocher et à tester. Prêts ?

10 astuces à la maison:

  • Les écrans restent en dehors de ma chambre;
  • J’achète un réveil, un vrai !
  • Je trouve le sommeil dans mon lit, avec un livre, pas avec une tablette;
  • Je ne consulte mon portable qu’une heure après mon réveil;
  • Mon smartphone reste éloigné de la table pendant les repas (même au petit déjeuner);
  • Je profite d’une activité sportive régulière, au moins 1 à 2 fois par semaine suivant l’intensité;
  • Je choisis des moments pour méditer (séquences de 15/20 minutes);
  • Je sors me promener 1h minimum une fois par semaine, sans mon portable;
  • Je sélectionne de manière plus exigeante mes notifications;
  • Je prends l’habitude d’écrire 1 page ou 2 au réveil. Mes rêves méritent d’être couchés sur le papier…
  • J’organise une activité collective (un jeu, une sortie…) chaque semaine en famille, avec des amis, sans portable.

10 techniques au travail:

  • Je crée des règles de messagerie pour ne garder et lire que l’essentiel des communications entrantes;
  • J’évite les « répondre à tous »;
  • Je crée ou contribue à créer des outils collaboratifs (cloud) pour limiter l’envoi d’emails;
  • J’organise mon absence (message automatique et organisation qui en découle s’il s’agit d’une longue durée type vacances);
  • Je favorise les réunions physiques avec compte rendu, prises de notes libre de chaque participant, et sans ordinateur portable sur la table;
  • Je laisse mon smartphone dans un panier ou une boîte, en mode avion, au centre de la pièce, pendant les réunions. J’invite mes collègues à en faire de même;
  • Pour les réunions virtuelles, je favorise une durée courte (45 minutes maximum), et des échanges, avec un temps de parole harmonieusement réparti. Le compte rendu est bienvenu également;
  • J’encourage mes collègues et collaborateurs à ne pas envoyer de messages (mails, SMS, WhatsApp), le week-end, le matin avant 8h, le soir après 19h.
  • Je propose à mes collègues ou collaborateurs des rendez-vous collectifs conviviaux physiques, pour des occasions spéciales et/ou régulières.
  • Je propose ou j’organise la mise en place du droit à la déconnexion dans mon entité (règles communes).

Bref, une rentrée, c’est toujours l’occasion de prendre de nouvelles habitudes, qui vous permettent de prolonger la douceur de l’été, des vacances, en imaginant, en proposant des idées et actions en adéquation avec un vrai bien-être au travail.

Soyons acteurs de la réussite, imaginons, proposons, réunissons les conditions d’un meilleur engagement de nos collaborateurs, au travers d’actions concrètes autour de comportements digitaux plus sains et efficaces.

Belle rentrée à tous ! 

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Boris Nepveu

Responsable commercial
Une reconnexion douce, avec Clé de Fa (2/2)

Une reconnexion douce, avec Clé de Fa (1/2)

Pour cette rentrée, nous allons tout au long de ce mois de septembre, vous accompagner avec Boris NEPVEU, Coach en Mieux-Être numérique, Président de l’association “Sans Mon Portable” dans vos bonnes résolutions. Et si cette reconnexion douce vous permettait de prolonger l’effet de vacances, de mieux gérer la rentrée, d’être plus efficient.e au travail, d’entamer des projets laissés de côté…

Les premières questions à se poser

Avez-vous vraiment réussi à “couper”, à vous ressourcer ? Avez-vous pu laisser votre portable dans un panier ? vous éloigner de votre ordinateur ? vous séparer de votre tablette ? éteindre votre télévision ?

Avez-vous pu profiter de toutes les activités que vous aviez imaginées au départ ?

Avez-vous pris le recul nécessaire pour entamer une rentrée en pleine forme ?

Oui ? Ou peut-être pas…

Italie vu de l espace

RSE : Nous avons le pouvoir d’éteindre la tour Eiffel

Le saviez-vous ? Votre boite mail pollue. Pleine à craquer de vieux mails dont l’intérêt ne sera qu’à votre jugement, remplie de newsletters auxquelles vous vous êtes abonné.es (ou pas) à une époque et qui ne vous intéressent plus et que vous jetez parfois (mais pas toujours). Vous pourriez même être énervé.e pour ces envois, mais le désabonnement n’est pas un réflexe..

Et bien, cela va devoir changer !
Pour notre planète !

Et si, pour préserver notre belle terre, nous éteignions la tour Eiffel ? Et nous avons ce pouvoir, car si tous les Français supprimaient 50 vieux emails inutiles, cela équivaudrait à éteindre la tour Eiffel pendant 42 ans.

L’impact des datacenters

Il y a quelques années, Clé de Fa, organisait, pour Free, l’inauguration de son dernier Datacenter. Empreinte digitale pour entrer dans le bâtiment, schémas électriques de folie et surtout climatisation dernier cri ! Notre rôle était d’expliquer entre deux petits fours et une coupe de Champagne, aux quelques 150 VIP de la soirée, que leurs données étaient entre de bonnes mains puisque le centre, même en cas de panne, avait la capacité de produire de l’électricité comme pour une ville de 50 000 habitants et que le site était OVNI safe ! 

Quelle est l’empreinte carbone d’un mail ?

Contrairement aux apparences, l’empreinte carbone d’un email n’est pas négligeable. Voici quelques ordres de grandeur :

  • 0,3 gramme pour un email de spam;
  • 4 grammes pour un mail sans pièce jointe;
  • 11 grammes pour un email avec une pièce jointe de 1 MB (soit l’équivalent d’un sac plastique) ;
  • Jusqu’à 50 grammes pour un long email avec des pièces jointes.

Ces statistiques sur la consommation CO2 d’un mail sont issues du livre How Bad are Bananas?: The Carbon Footprint of Everything, publié par Mike Berners-Lee il y a quelques années. L’auteur n’est autre que le frère de Tim Berners-Lee, considéré comme l’inventeur de l’internet.

Faites le ménage

L’idée ici n’est pas de taper sur les quelque 156 datacenters français, mais bien de nous rendre conscients de l’impact du nettoyage de nos boîtes. Nos mails, avec leurs innombrables pièces jointes, sauvegardés et stockés dans ces serveurs, ont une empreinte carbone non négligeable puisqu’aujourd’hui, ces datacenters représentent, selon l’Ademe 1% de la consommation électrique mondiale.

En plus, c’est pas si difficile de faire moins !

Moins de destinataires

Cela peut sembler ridicule, mais réduire le nombre de destinataires est un bon début. Non seulement vous importunez moins de monde, mais surtout, vous diminuez la consommation d’énergie.

Moins de pièces jointes

Lorsque c’est possible, vous pouvez éviter d’envoyer une pièce jointe. La plupart du temps, vous pouvez d’ailleurs vous contenter d’un lien dans votre mail pour éviter d’envoyer des messages lourds (et donc polluants). Concrètement, au lieu de joindre un fichier, utilisez par exemple un lien Smash (en plus, c’est français) que la personne utilisera si elle le souhaite uniquement. L’avantage : moins d’espace sur les serveurs et, après un certain temps, le fichier sera détruit définitivement, contrairement aux pièces jointes conservées longtemps.

Moins de mails dans la corbeille

Pour réduire le nombre de messages stockés sur des serveurs, vous pouvez vider la corbeille aussi souvent que possible. Certains services comme Gmail ou Hotmail permettent de le faire automatiquement après 30 jours par exemple. N’oubliez pas de vider le dossier « Envoyé », qui peut aussi contenir un grand nombre de messages bien souvent… inutiles.

En +, avoir des boites mails rangées et presque vides, c’est moins de bande passante, c’est bon pour le moral et cela permet d’être plus efficace dans son travail ou dans sa vie perso.

Lisez la brochure de l’Ademe sur le sujet. A diffuser largement.


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Fanny Souchon

Dirigeante de l'agence Clé de Fa
Cle de Fa -Le masque et la plume

Le masque et la plume

Tous confinés à nos domiciles, ou sur nos lieux de travail avec quelques collaborateurs restant à distance raisonnable, ne nous aventurant à l’extérieur que rarement, parfois même masqués… 

Si la France n’est pas à l’arrêt, elle tourne franchement au ralenti avec des collaborateurs inquiets pour l’organisation à distance, leur salaire et leur poste, des clients effrayés par les délais de leurs dossiers, des fournisseurs en panique pour leur carnet de commande. 

Profitons de cette étrange période pour prendre la plume et mettre en place une communication de crise efficace. C’est l’occasion de montrer votre agilité, votre professionnalisme et de sortir de cette période avec une image renforcée, grandie. 

La communication de crise est une des spécialités de l’agence Clé de Fa, nous pouvons vous aider à rassurer les uns, à tranquilliser les autres.  

Contactez-nous pour que nous en parlions ensemble !

Cle de Fa Et si la vie pouvait être simplexe !

Et si la vie pouvait être simplexe !

La simplexité est un terme né de la contraction des mots “simplicité” et “complexité”. Rendre accessible des choses qui ne le sont pas tout en gardant leur richesse. 

L’informatique pour exemple
Une des plus belles illustrations de simplexité reste encore Google. Une simple case au centre d’une page presque blanche. L’objectif ? Rendre évidente l’utilisation d’un moteur de recherche alors que derrière ce sont des algorithmes d’une puissance inimaginable pour les pauvres internautes que nous sommes. 

Une contradiction ou un objectif ?
Nous sommes à la fois émerveillés et écrasés par toutes les informations qui nous arrivent chaque jour. Les enjeux de notre vie professionnelle et l’intensité de notre vie personnelle  ne nous permettent pas la contreperformance ou la perte de temps. Il nous faut donc, sans s’arracher les cheveux, des processus idéalement élégants, rapides et efficaces.

Une solution
Ces processus ne sont pas « simples », mais élaborent des « solutions » qui tiennent compte de l’expérience passée de l’internaute et engendrent des comportements rapides et  fiables. Par exemple préremplir des champs ou activer des fonctionnalités selon les utilisateurs comme sur le nouveau site de réservation de billets Capitaine Train

Le “Plug and Play”
La réussite de Mac n’est-elle pas intimement liée à ce concept de simplexité ? Les utilisateurs de la pomme seront toujours prêts à vous démontrer qu’utiliser l’un de leurs derniers gadgets est un jeu d’enfant. Fini les arborescences tarabiscotées. Chez Apple vous branchez et ça marche, pas besoin de manuels illisibles. D’ailleurs, l’iPhone est livré sans mode d’emploi.

Quel que soit votre domaine, n’avez-vous pas tout gagné si vous avez simplifié la vie de votre client ?