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Depuis le 1er juillet 2011, 30 000 noms de domaines internet en “.fr” jusque-là interdits car jugés “sensibles” peuvent être achetés.


Une fois de plus une loi ne pouvait pas grand-chose sans ses décrets d’application. C’est chose faite depuis le 1er août pour la loi du du 22 mars 2011 concernant l’ouverture par l’AFNIC (Association française pour le nommage internet en coopération) des termes fondamentaux. Entendez par là l’attribution de noms de domaines “sensibles” tels que “nazisme.fr”, “viol.fr”, “camp-de-concentration.fr” mais aussi des noms comme “internet.fr” ou encore “entreprise.fr”.

Des noms de domaines pas plus chers que les autres mais dont le demande devra être accompagnée des motivations et des intérêts légitimes à obtenir un tel nom de domaine. La liste des noms de domaine “sensibles” se trouve sur le site de l’Afnic et se distingue en plusieurs catégories : crimes, infractions, libertés… La liste non exhaustive est ici
Reste à l’Afnic la charge d’étudier les quelques 6 000 requêtes déjà déposées.

A noter que ce décret oblige également les offices d’enregistrement tel que l’Afnic à signaler sans délais les noms de domaines illégaux ou contraires à l’ordre public.

Le dernier né des réseaux sociaux n’est pas un bébé mais plutôt un monstre de la planète Google. Le cap des 10 millions de membres a été officiellement franchi le 14 juillet 2011, après tout juste 2 semaines d’existence et actuellement les utilisateurs publient plus d’un milliard de “partages” par jour !

Google+, actuellement en phase de Beta test, est une plateforme regroupant divers outils de mise en relation, de communication et de partage accessibles depuis une barre d’outil spécifique. Chacun de ces outils venant se greffer autour d’un flux d’actualité comparable au «Mur» de Facebook.

Quelques fonctions pour vous donner l’eau à la bouche. Sachez tout de même que Google+ n’est pas encore accessible pour les comptes pro mais que ça ne devrait pas tarder.

Les Cercles
Exactement comme dans la vraie vie, vous identifiez des cercles de connaissances en fonction de ce que vous souhaitez partager. De la veille via un article de presse sur votre métier avec vos clients, la dernière vidéo des enfants avec vos parents ou un articles passionnant avec vos amis. On aime le système de regroupement par glissé/déposé, simple et intuitif et surtout le confidentialité du procédé au contraire du mur Facebook.
http://www.youtube.com/watch?v=BeMZP-oyOII&feature=relmfu

Le bouton +1
Sur les pages de résultats de recherche Google ou sur n’importe quel site web, le bouton +1 vous permet d’indiquer que vous avez apprécié quelque chose (un message, un commentaire, une photo, etc.). C’est en quelque sorte un équivalent du bouton “J’aime” de Facebook.


«Déclics» ou «Sparks»
Voici un moteur de recherche simple qui va vous suggérer des articles, des photos, des vidéos, etc…) en fonction de vos centres d’intérêts. Il sera lors simple de partager cette “veille” avec vos cercles.
http://www.youtube.com/watch?v=MRkAdTflltc&feature=relmfu

« Vidéos-Bulles» ou «Hangouts »
Un système de visioconférence pouvant accueillir un nombre illimité de participants mais n’obligeant personne à répondre. Lorsque vous créez une Bulle, les contacts du ou des Cercles de votre choix sont informés via leur Mur que cet espace est ouvert. Vous rejoignez ou pas le groupe.
http://www.youtube.com/watch?v=QN38vHZjWXw&feature=relmfu

«Mobile» ou «Instant Upload»
Un excellent outil pour envoyer automatiquement et directement toutes les photos capturées à l’aide de votre téléphone mobile (Android, iPhone) sur votre compte «Google+». Vous pouvez ainsi les partager d’un simple clic avec un ou plusieurs de vos cercles. Et la bonne idée, c’est la possibilité d’ajouter une légende aux photos et de tagger les personnes qui apparaissent.
http://www.youtube.com/watch?v=6y_xKVSRAy8&feature=relmfu

«Clique» ou «Huddle»
Sans oublier l’essentiel : un service de messagerie instantanée textuelle de groupe pour mobile Android et iPhone.
http://www.youtube.com/watch?v=iA22daAstNg&feature=relmfu

Cette liste n’est que la partie visible de l’iceberg. Nous testons pour vous et ne manquerons pas de vous tenir informé des premiers pas sur terre de ce nouvel acteur et si vous n’êtes pas encore inscrit, demandez-nous une invitation Google+.


La démonstration (en anglais)
http://www.youtube.com/watch?v=vnv1Mbj1jKw&feature=relmfu

Nombre de jours nécessaires pour atteindre 10 millions d’utilisateur

Tous les chiffres

http://www.webrankinfo.com/dossiers/google-plus/chiffres-google-plus 

Fort de son succès dans le sud de l’Oise et à Beauvais,
le Réseau d’affaires BNI s’étend encore en septembre
sur le département en créant un groupe à Compiègne.

Ce réseau d’affaires professionnel, basé sur la recommandation mutuelle
a “débarqué” en France fin 2004, et a entamé en 2008, son déploiement
en régions.

La recommandation par le bouche à oreille, la réciprocité des échanges
alliées au fait qu’une profession ne pourra être représentée qu’une seule fois
rendent ce concept visiblement très efficace.

Un seul représentant par profession pour éviter les conflits d’intérêt
A découvrir rapidement !

Contact

Il y a quelques semaines nous avons vu l’apparition de l’extension de domaine « .xxx » destinée aux sites à caractères pornographiques qui a été intégrée après de nombreuses années de débat.

Et aujourd’hui les noms de domaine pourront se terminer avec presque n’importe quel mot de n’importe quelle langue, offrant aux organisations du monde entier l’opportunité de mettre en avant leur marque, leurs produits, leur communauté ou leur cause (par exemple « .google » ou « .cledefa » ; plus encore, les sites qui s’approprient des thèmes pourront eux aussi posséder leurs propres extensions : « .informatique », « .amour », « .argent » ; les marques et les villes sont néanmoins prioritaires.
Ne rêvez pas ! les organisations privées ou publiques qui souhaitent user d’un nom de domaine à leur effigie devront débourser 185 000 dollars pour l’évaluation, puis 25 000 dollars par an et par extension pour la maintenance, si elles obtiennent le consentement.

Pour info, la dernière fois que nous avions entendu parlé de l’Icann* c’est après avoir autorisé, il y a quelques années, les noms de domaine avec des lettres autres que celles de l’alphabet latin.

A SAVOIR
——–

• « extensions de nom de domaine » ou « GTLD » sont les deux à quatre lettres qui terminent nos adresses internet (par exemple le .com, adopté par les sites commerciaux, le .fr qui désigne les sites français, le .org pour les organisations).

• Il existe 22 extensions génériques autorisées (mais 272 si on compte les extensions correspondant chacune à un pays)

• l’Internet Corporation for Assigned Names and Numbers (Icann) organisme chargé de réguler les attributions des noms de domaine.
  http://www.icann.org/tr/french.html

Vient de paraître en ligne le guide du télétravail 2011, nouveau mode d’emploi à télécharger, écrit par Xavier de Mazenod, fondateur de Zevillage, à destination des entreprises, de leurs salariés et des indépendants.

Au sommaire de ce guide, un point sur le télétravail (chiffres, réglementations, bénéfices et risques, métiers concernés…), sur l’organisation (comment s’y mettre, où télétravailler) et une 2e partie consacrée aux outils du travail collaboratif à distance et de développement de son activité :

• la tendance : always connected et cloud computing
• pour communiquer (Skype le pivot de votre téléphonie, Gmail, Buzzee)
• pour travailler en réseau (Google docs, Dropbox, Google site, Zoho…)
• améliorer sa productivité (Doodle, Evernote, Prezi)
• gérer son activité (facturation en ligne iScriba, compta en ligne E-tag)
• se former et se faire aider
• s’informer et veiller (Netvibes, iGoogle, Steprep, Wengo…
• organiser des événements (Amiando, 1001salles)
• assurer sa promotion (Jimdo, Weebly, Google sites, Snipemail, Ooprint)
• vendre en ligne (Jimdo, 42stores)
• se faire connaître dans les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, réseaux professionnels

Une proposition de service qui ressemble à une facture du Régime Social des Indépendants ? Une société joue sur son acronyme RSI et envoie ce qui ressemble fortement à une facture…

La meilleure réaction consiste à se rapprocher dela DGCCRF (direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes)

http://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Se-mefier-des-propositions-d-insertion-dans-les-an

Un grand merci au hub viadeo Club Réseau-Pro Oise – CRéP (60) et à duoDiff pour avoir fait circuler l’information..

Et voici un exemple de la difficulté de maintenir une page Facebook : 

Depuis hier 18h, s’est lancé un débat sur la sexualisation des vêtements par Petit Bateau sur sa page Facebook. Le problème ? La marque n’a pas participé au débat, qui est devenu franchement incontrôlable il y a un peu plus d’une heure.. 
On trouve donc sur la page très officielle de Petit Bateau, consultable par tous sans connexion des commentaires aussi graveleux que :

Dieu a fait l’homme si complet qu’il lui a fallu mettre les organes génitaux à lextérieur. Pour la femme, il y avait de la place de libre.

(je vous passe le pire !) 

L’origine du buzz ? Ces body 

Je pense que le problème n’est pas le débat, mais bien l’absence de réactivité de la marque.. Car sur les réseaux sociaux, les gens adoooorent parler.