Après avoir partagé avec Starbucks les résultats du classement des entreprises où il fait bon travailler “Great Place to Work”…
… après avoir travaillé sur des évènements humanitaires d’intégration avec le Secours Populaire pour accueillir les nouveaux collaborateurs des boutiques Marks & Spencer,
… après avoir mis en lumière les valeurs du Cabinet Nathalie Bouard Expertise pour voir des équipes se construire autour d’un vrai projet,
… après avoir échangé des heures avec Stéphanie Ouvry (Letsteam) de la puissance du handicap dans la cohésion d’équipe,
… après, après…
Nous ne pouvons que penser qu’une fonction telle que « Responsable du bonheur » en entreprise, alors que la loi du travail divise encore un peu plus patrons et salariés, doit incarner une responsabilité, une éthique et transformer le travail « fatalité » en travail « opportunité»
À l’heure où chacun est à la recherche de valeurs, d’assurance, de certitudes, à l’heure ou les entreprises cherchent à développer leur marque employeur pour attirer les meilleurs profils, le bien-être, notion somme toute basique, reste le premier facteur de la performance individuelle et collective.
Le bonheur au travail se traduit avec un nombre de candidatures spontanées pour l’entreprise qui explose, avec un coût salarial qui chute (les collaborateurs sont deux fois moins malades, six fois moins absents, et 55 % plus créatifs).
Et pour les détracteurs qui pourrait penser que cette stratégie dupe les employés en leur faisant croire qu’elles s’intéressent à leur bonheur, alors que les motivations sont purement économiques, ne peut on pas imaginer que le bien-être en entreprise va transpirer en dehors de l’organisation et que chacun y trouvera son compte.
Les DRH se doivent d’évoluer d’un rôle de gestionnaire de capital humain vers un rôle de développeur de patrimoine humain alors un responsable du bonheur en entreprise n’est pas si utopique que cela !