À la deuxième faute, le CV est éliminé
Vecteur de crédibilité, facteur de confiance et synonyme de sérieux, la maladie des mots est un mal qui peut fragiliser une candidature et ruiner une réputation. L’explosion des terminaux mobiles et le développement des nouvelles technologies et de la communication ont, de leurs côtés, bouleversé la vie des étudiants.
Tout le monde y passe
Chez les étudiants, tout d’abord, le bilan est alarmiste. L’explosion des SMS a tout mis sens dessus dessous. La phonétique est devenue l’alliée des étudiants qui écrivent les mots comme ils les prononcent. Si ce constat est net chez les jeunes, l’état des lieux n’est pas plus glorieux chez leurs ainés, salariés, cadres ou même dirigeants d’entreprises. Des outils comme Antidote deviennent alors indispensables pour garder sa crédibilité dans un mail, un compte rendu de réunion ou un dossier à distribuer à des investisseurs.
C’est la faute à Voltaire
Les règles qui posent le plus de problèmes sont : le pluriel des noms composés (56 %), la distinction entre futur et conditionnel (34 %), le pluriel des chiffres (27 %), le redoublement des consonnes (24 %) et bien sûr l’accord du participe passé (23 %).
L’orthographe devient une compétence !
Un enjeu tel que vous pouvez désormais, à l’instar de votre niveau d’anglais avec le TOEIC, afficher, sur votre CV vos compétences en orthographe grâce au Certificat Voltaire
* Étude réalisée par Mediaprism auprès d’un échantillon représentatif de 989 personnes en août 2013.